Communiqué de Presse

 

Tout d'abord, je suis très étonnée par la vive polémique qui touche ma marque et je suis totalement ouverte pour répondre à toutes vos questions.
Je tiens aussi à préciser que ma marque n'a rien à voir avec les clichés parus dans le Vogue de la fille de Veronika Loubry. L'amalgame qui à été fait dans la presse est totalement erroné.

L'histoire/la mission de ma marque: Jours après Lunes est née du constat qu'entre des sous-vêtements très inconfortables en 100% coton et d'autres hyper sexy distribués par des marques femme, il n'y avait pas d'alternative pour les enfants, c'est à dire pas de sous-vêtements cr éés avec des matières confortables.
Du fait de mon expertise acquise -je travaille depuis 15 ans pour de grandes marques mondialement connues destinées aux femmes, aux hommes et aussi aux enfants, et notamment dans le secteur des sous-vêtements hommes pour lequel j'ai inventé des produits qui ont permis à ces messieurs de trouver des sous-vêtements enfin confortables avec l'usage de nouvelles matières technologiques- j'ai simplement voulu proposer aux enfants des sous-vêtements doux et agréables à porter et accompagner les jeunes filles de 14 à 20 ans vers des sous-vêtements plus sobres qui correspondent à leur âge et qui soient non issus des marques féminines souvent vulgaires.
Les matières de mes produits sont utilisées en sous-vêtements car elles sont ultra qualitatives: des cotons à valeur ajoutée avec notamment de l'élasticité, des viscoses douces et des microfibres faciles à entretenir non exploitées à tort dans le secteur de l'enfant.
Il n'y a aucune connotation vulgaire: les matières sont totalement opaques, aucune transparence, aucune dentelle, aucun satin ni de soie brillante.
Le style est emprunté à la mode enfantine avec des noeuds en gros grain, des élastiques fantaisies, des picots et les tissus sont en jersey, côtes 1x1 ou bien Richelieu comme ceux utilisés dans le secteur enfant.
Les motifs, grosses rayures en all-over ou placés en croquets ou encore les aspects chinés sont inspirés de l'univers de l'enfant et des thèmes marins souvent repris en prêt-à-porter.

Le "porté dessous-dessous" qui fait polémique est simplement une autre manière de dire que par exemple, les tops peuvent se porter soit sous un pull pour avoir chaud l'hiver ou bien avec un jean l'été ou encore que les bodies pour bébé peuvent se porter comme de vraies pièces de dessus comme le font toutes les mamans avec leurs nouveaux nés quand il fait chaud.
Les triangles -seulement 2 dans la collection- sont utilisés en maillot de bain pour les plus petites et en premier maintien pour les jeunes filles voire même par des jeunes femmes qui ne recherchent pas de maintien puisque les brassières que je propose n'offrent aucun soutien.
Il n'y a dans ma collection aucun soutien-gorge, aucun corset et aucun string.
La ligne est composée principalement de culottes, shorts, tops comme les débardeurs et bodies pour les bébés. Bref, rien de plus classique en sous-vêtement.
L'aspect "transgénérationnel fille/maman" de ma marque n'a rien de nouveau et est identique à celui repris par de nombreuses marques de prêt-à-porter.

A propos du terme "Loungerie": ce mot inventé par de grands cabinets de style internationaux et repris par de nombreuses marques et dans de nombreux articles de mode signifie tout simplement que mes produits sont des pièces majoritairement couvrantes inspirées du Loungewear et créés avec des matières issues de la recherche dans le secteur de la lingerie. Je rappelle qu'en France, le mot lingerie qualifie l'ensemble du secteur du sous-vêtement qui concerne la femme, l'homme et y compris l'enfant. Ce terme utilisé seul n'induit pas de notion sexy.

En ce qui concerne les photos de ma marque, je tiens tout d'abord à préciser que dans les articles où elles sont parues, elles sont sorties de leur contexte et ont été remises en page pour induire une dimension sexy qui n'existe pas à l'origine.
Toutes les photos présentent des enfants qui jouent à des jeux d'enfants comme nous l'avons tous fait. Si vous regarder dans le détail, vous trouverez sur plusieurs d'entre elles des petits éléments de jeux d'enfants: animaux de la ferme, dînette, accessoires de poupées, gâteaux en bois...
Il n'y a au cune 2ème lecture à avoir, aucune connotation vulgaire, les postures ne sont pas tendancieuses.
Il n'y a qu'une interprétation: celle d'enfants qui jouent ensemble tout simplement.

Les enfants ne portent pas de talons, ni de vernis à ongle, ni de rouge à lèvre. Les coiffures sont exagérées comme le sont les jeux et l'univers des enfants.
Oui les modèles portent des lunettes de soleils comme tous les enfants, oui on voit parfois le ventre ou les jambes comme sur les plages, oui elles portent aussi des colliers chez elles à la maison comme le font toutes les petites filles pour s'amuser...
Enfin les mannequins sont des modèles professionnels et non des Lolitas qui ont piqué des tenues de femme.

La mise en scène n'a rien d'extraordinaire, elle est régulièrement reprise par beaucoup de marque, de magazines dans leurs séries mode.
On voit souvent par exemple des mises en scènes d'enfants autour de thèmes comme les "cow-boy et les indiens", cela fait-il de ces enfants de futurs criminels?
Il est temps de remettre les choses à leur place et de s'attaquer à des problèmes sérieux comme celui des affichages de journaux pornographiques sur les kiosques à journaux exposés quotidiennement sous les yeux de nos enfants...!

Les interprétations extrêmement douteuses faites dans la presse sont nées du fait de la polémique autour des photos de la fille de Veronika Loubry et de la part de journalistes qui recherchaient de la matière et des photos pour continuer à alimenter leurs articles sur ce sujet.

Ma marque existe depuis plus de 2 ans, ma société est extrêmement sérieuse, je suis reconnue dans le milieu de la lingerie, je suis présente sur plusieurs salons professionnels des secteurs de la lingerie et de la mode enfantine et dans des points de vente tout à fait honorables et mondialement connus. A aucun moment Jours après Lunes n'a fait l'objet de critiques ni de la part des professionnels de la mode, ni de la part des organisateurs de salons, ni de la part de mes clients distributeurs et ni de la part de mes consommatrices fidèles qui me font confiance et que je remercie. Et encore moins de la presse sérieuse qu'elle soit professionnelle et grand public Française et internationale qui a toujours accueilli Jours après Lunes avec un grand sourire.

Enfin Jours après Lunes n'est ni distribuée aux USA, ni au UK...!





ENGLISH VERSION

 

First of all, I am very surprised by the lively debate that touches my brand and I am completely open to answer all your questions.
I would also like to point out that my brand has nothing to do with the pictures published in Vogue’s daughter Veronika Loubry. The mix was done in the press is totally wrong.
History / Mission of my brand: Days after Moon was born from the observation that between underwear very uncomfortable in 100% cotton and other hyper sexy brands distributed by women, there was no alternative for children, that is not underwear created with material comfort.

Because of my expertise I worked for 15 years for major global brands for women, men and children too, especially in the area of men’s underwear for which I have invented products that have these gentlemen to find underwear finally comfortable with the use of new materials technology, I just wanted to offer children underwear soft and comfortable to wear and support the girls aged 14 to 20 to sub more sober garments that match their age and who are not from registered women often vulgar.
The materials of my products are used in their underwear because they are highly qualitative: cottons including value-added elasticity, of viscose soft and easy to maintain microfiber wrongly untapped sector of the child. There is no vulgar connotation: the material is totally opaque, no transparency, no lace, no satin, no shiny silk.
The style is borrowed from children’s fashion with grosgrain knots, rubber bands fantasies, spikes and points “casserole” and the fabrics are jersey, rib 1×1 or Richelieu as those used in the child.

The grounds, large all-over stripes or placed in or aspects croquets China are inspired by the world of the child and marine themes often repeated in ready-to-wear.
The “worn below under” controversy which is just another way of saying that for example, the tops can be worn either under a sweater to keep warm in winter or summer with jeans or that the bodysuits for Baby can be worn like real pieces of it as do all mothers with their newborns when it’s hot.
The only two triangles in the collection-are used in a bathing suit for smaller maintenance and first for girls and even by young women who do not seek to maintain since the jackets do I offer no support .
There is in my collection no bra, no corset and no G-string.
The line consists mainly panties, shorts, vests and the bodysuits for the babies. Nothing more classic in underwear.
The appearance of “transgenerational daughter / mother” my brand is not new and is identical to that taken by many brands of ready-to-wear.
About the term “Loungerie” the word coined by large firms and international style echoed by many brands and many fashion items simply means that my products are mostly opaque parts Loungewear inspired and created with materials from research in the field of lingerie. I recall that in France, the word refers to the linen industry as a whole underwear for women, including men and children. This term alone does not induce sexy concept.

As for the pictures of my brand, I would first like to clarify that in the articles as they are published, they are taken out of context and were given to induce a page size that is not sexy to origin.
All pictures show children playing children’s games as we all did. If you look in detail, you will find many of them small pieces of children’s games: farm animals, dinette, doll accessories, cake timber …
There is no second reading to have no vulgar connotation, the postures are not biased.
There is only one interpretation: that of children playing together at all.

Children do not wear heels, or nail polish or lipstick. Hairstyles are exaggerated as are the games and the world of children.
Yes the models are wearing sunglasses like all children, so we sometimes see the belly or legs as on the beaches, so they also wear necklaces at home at home as do all the little girls to have fun. ..
Finally the models are professional models and not the sharpness of Lolitas who held a woman.

The staging is nothing special, she is featured regularly in many brands of magazines in their series mode.
We often see such stagings of children around themes such as “cowboy and Indians”, does it make of these children for future criminals? It is time to put things in their place and to address serious problems such as displays of pornographic magazines on the newsstands exposed daily in front of our children …!
Extremely dubious interpretations made in the press were born because of the controversy surrounding pictures of the girl Veronika Loubry and from journalists who sought the material and photos to continue to feed their articles on the subject.

My brand has existed for over two years, my company is very serious, I recognized in the middle of the lingerie, I am active in several trade shows areas of lingerie and children’s fashion and retail outlets in all is reputable and known worldwide. At no time did Moons Days after being criticized either by the fashion professionals or by the exhibition organizers, nor from my customers or distributors and from my loyal customers who trust me and whom I thank. Let alone the press that it is serious business and consumer and French international has always welcomed Days after Moons with a big smile.

Finally, after days Moons is definitely not the United States or distributed, or the UK!